Efficience de deux techniques de pâturage : tournant et cellulaire

Des résultats peu concluants pour cette première étude. Ce qu’il faut retenir :

• La mise en œuvre du pâturage cellulaire n’a pas permis d’augmenter la biomasse offerte, ni la qualité du couvert.
• En conséquence, les vitesses de croissance des agneaux et l’évolution de l’état corporel des brebis n’ont pas été influencées par le mode de pâturage, cellulaire ou tournant.
• Ces résultats restent à confirmer.

Les enjeux :

La part de l’herbe pâturée dans la ration des brebis allaitantes est particulièrement importante avec plus de 60 %. L’augmentation du coût des aliments incite à adopter des modes de pâturage plus efficients. Dans ce cadre, le pâturage cellulaire, appelé également dynamique, a été comparé au pâturage tournant, usuellement mis en place en production ovine.

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